Conrad Murray

ha bon, la photo était vraie disaient les avocats??? pourtant on aurait vraiment dit un montage Aimjee

La disparition de Michael Jackson

Zoom LOS ANGELES
Mort de Michael Jackson : ce que dit le rapport d'autopsie 20 réactions | RéagirAmel Brahmi | 10.02.2010, 18h29 | Mise à jour : 21h51 Alors que son médecin, le docteur Conrad Murray, vient d'être inculpé pour homicide involontaire, les enquêteurs de Los Angeles ont rendu public mardi le rapport d'autopsie de Michael Jackson. Une description édifiante de l'état de santé de Michael Jackson, au moment de sa mort le 25 juin dernier, est faite sur 51 pages.

Sur la toile
Les dates-clefs depuis la mort de Michael Jackson
Notre dossier spécial Pour les enquêteurs, tous les éléments rapportés constituent des preuves que le roi de la pop est mort d'une « intoxication sévère au propofol ».

Le rapport d'autopsie décrit un homme fragilisé

«La victime pèse 61kg pour 1m75. Elle n'a que très peu de cheveux sur lesquels sont attachés une perruque. Son scalp, au niveau frontal, est tatoué en noir, sur une surface chauve. Ses sourcils et le bord de ses paupières sont également tatoués, ainsi que ses lèvres qui sont tatouées en rose. Sa peau est couverte de tâches noires et blanches». Les enquêteurs ont réalisé cette première autopsie moins de trois heures après la mort du chanteur.

«La victime a plusieurs côtes cassées, ceci a probablement été causé par le massage cardiaque effectué au moment de sa mort. Des traces de bronchiolites et d'inflammations sont constatées sur son poumon gauche et ceci a pu avoir un effet empirant sur son état, même si cela n'est pas considéré comme la cause directe de sa mort ».

Selon le rapport, la nuit de sa mort, « la victime s'était plainte de déshydratation et d'insomnie ». Michael Jackson, qui avait engagé le Dr Murray pour l'aider à le préparer à une série de concerts qui auraient marqué son retour sur la scène, aurait appelé le médecin le 25 juin vers 1h du matin. Ce matin-là, Conrad Murray a admis lui-même lui avoir donné trois anti-dépresseurs pour l'aider à dormir. Selon le médecin expert de la cour de Los Angeles, «la quantité d'anti-dépresseurs trouvé dans le sang du chanteur a pu accentuer ses problèmes respiratoires et cardiovasculaires».

Du Propofol pour l'aider à trouver le sommeil

Dans sa déposition, Conrad Murray déclare qu'il a administré ce puissant anesthésiant à son patient pour l'aider à dormir. Mais un expert anesthésiste engagé par la cour de Los Angeles pour étudier le rapport a déclaré que le Propofol «n'a auparavant jamais été utilisé pour traiter des insomnies». «Les seules fois où l'anesthésiant a été utilisé au domicile du patient étaient dans des cas de suicides, de meurtres, ou par accident», a-t-il ajouté.

Le médecin a déclaré qu'il suivait son patient pour des problèmes d'insomnie, depuis six semaines. Chaque nuit, il lui administrait, par intraveineuse, 50mg de Propofol dilué avec un anesthésiant local, la lidocaine. Il a également déclaré qu'il s'inquiétait de la dépendance de son patient au traitement, et qu'il essayait de l'en détacher. Conrad Murray a déclaré que, durant les deux nuits qui ont précédé la mort du chanteur, il avait ajouté d'autres substances et avait enfin réussi à le faire dormir.

Une substance qui lui a été fatale

Selon un expert cité dans le rapport, « le Propofol a été administré sans l'équipement approprié, tel qu'un éléctrocardiogramme ou encore une alimentation en oxygène». De plus, « l'utilisation de l'anesthésiant nécessite un suivi rapproché par un anesthésiste », alors que le Dr Murray n' est que cardiologue. «Une alimentation à oxygène a été retrouvée près du lit de Michael Jackson, mais elle était vide».

Toujours selon le rapport d'autopsie, « plusieurs bouteilles de propofol, à moitié vides », ont été retrouvées dans la maison du chanteur et toujours selon l'expert, « toute bouteille contenant du propofol et ouverte depuis plus de 6 heures doit être jetée, pour en éviter l'infection bactériologique. De plus, le montant de propofol trouvé dans le sang de la victime est équivalent à celui utilisé dans le cas de grosses opérations chirurgicales. Dans ce cas, le patient doit être intubé et ventilé par un anesthésiste. » Michael Jackson n'avait pour médecin que son cardiologue.

Le rapport d'autopsie conclut : «La procédure standard d'administration du Propofol n'a pas été suivie». Le docteur Murray risque quatres ans de prison.

http://www.leparisien.fr/michael-jackson/mort-de-michael-jackson-ce-que-dit-le-rapport-d-autopsie-10-02-2010-811196.php

http://www.msnbc.msn.com/id/35992541/ns/entertainment-celebrities/from/ET

suzysuzon a écrit:

http://www.msnbc.msn.com/id/35992541/ns/entertainment-celebrities/from/ET

Voici en substance la traduction

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1771/Michael-Jackson/article/detail/1083649/2010/03/23/Le-Dr-de-Michael-Jackson-a-cesse-la-rea-pour-planquer-les-medicaments.dhtml

"Le Dr de Jackson a cessé la réa pour planquer les médicaments"

Nouveau coup d'éclat dans l'affaire Michael Jackson. Un communiqué de l'AP annonce aujourd'hui que Conrad Murray aurait perdu un temps précieux pour la survie de Michael Jackson en abandonnant son massage cardiaque pour cacher les doses de Propofol qui avaient été fatales à la star américaine.

Selon l'homme à tout faire de la star, en découvrant Michael Jackson, le Dr Murray aurait appelé les secours avant d'entamer la réanimation du chanteur. Mais peu avant que les ambulances n'arrivent, le médecin controversé aurait tout stoppé pour planquer les médicaments qu'il avait lui même fournis au roi de la pop.

Toutefois, les avocats du médecin mettent en doute les propos de ce témoin qui viennent tardivement. Selon eux, son témoignage est incohérent. (CB)

Je suis anéantie...............doit-on pleurer ou hurler ...???...!!!

Donc, Alvarez a dit qu'il avait fait le RCR pendant que Murray faisait le bouche-à-bouche!

Prince et Paris, seraient entrés dans la chambre et auraient crié en voyant Murray tenter de sauver leur père. Une nounou a été appelée pour les faire sortir et aller attendre à l'extérieur dans un véhicule.

Murray aurait été vu dans ou près d'un hôpital voisin

Murray aurait demandé à Alvarez et Amir pour retourner à la maison de Michael pour prendre "la crème???"

Ed Chernoff, a démenti que son client a essayé de cacher la drogue.
Il dit que Alvarez avait changé sa déclaration sur ce qui s'est passé dans la chambre de Michael.
La première fois Alvarez n'avait pas dit qu'il avait vu Murray mettre des flacons de médicaments dans un sac, la deuxième fois oui!
Ils vont en parler au procès.

Alvarez ,l'assistant personnel Michael Williams Amir, et le garde du corps Faheem Muhammad pourraient être des témoins clé.
Ils seraient les seuls à être allés dans la chambre de Michael, mis à part, les 2 plus grands enfants de MJ qui seraient entrés et que la nounou a fait sortir.

Alvarez, Muhammad et Williams sont tous représentés par Douglas et ont donné leurs déclarations séparément le 31 août au bureau de l'avocat à Beverly Hills .

Alvarez a dit à la police, qu'il était arrivé chez Michael autour de 10:20 h. Il a attendu les instructions pour la journée dans une pièce pour la sécurité en dehors maison de M. Jackson quand, à 12h17, son téléphone sonna.
C'était Williams qui disait que Murray avait appelé pour dire MJ était en difficulté. Alvarez dit qu'il se précipita dans la maison et monta les escaliers à la chambre de MJ, où il vit Murray debout au chevet de la star du pop, tentant de le réanimer avec une seule main.

Alvarez a demandé au médecin ce qui s'était passé.

«Il a eu une réaction, il a eu une mauvaise réaction", a répondu Murray , selon Alvarez.

Murray a saisi un peu de flacons avec des sommets en caoutchouc et Alvarez a dit qu'il les avait mis dans un sac. Alvarez a ramassé un sac en plastique sur le plancher et Murray a remis les bouteilles à l'intérieur, puis Murray a dit à Alvarez de mettre ce sac plastique à l'intérieur d'un sac de toile brune.

Alvarez a indiqué que Murray lui dit alors de supprimer un sac pour perfusion intraveineuse et le mettre dans un sac de toile bleue. Ce qu'il a fait, et Alvarez a remarqué que le sac contenait un connecteur avec un fond blanc laiteux. Alvarez n'a pas dit ce qui s'est passé pour les sacs, et il n'a pas d'identifier ce qui était dans les flacons.

Deux jours après la mort de Michael, en vertu de plusieurs heures d'interrogatoire par la police, Murray a finalement dirigé la police vers une armoire dans la chambre de MJ. Ils y ont trouvé des sédatifs "propofol" et d'autres dans un sac.

Le jour où Jackson est mort, Murray a attendu jusqu'à ce que les sacs soient remplis avant de dire à Alvarez d'appeler le 911, selon la déclaration d'Alvarez.

«J'ai besoin d'une ambulance dès que possible", a dit Murray à Alvarez.

Ce serait Alvarez qui a mis Jackson sur le plancher.

A ce moment, Mahomet se précipita dans la chambre et a commencé à aider par des compressions thoraciques pendant que Murray a tenté le bouche-à-bouche. .

Murray a alors placé une machine brun foncé avec des fils sur les doigts de Jackson, a dit Alvarez. La police a déclaré plus tard qu'ils ont trouvé un oxymètre de pouls à la maison de Michael Jackson, un dispositif médical qui montre la fréquence cardiaque et la quantité d'oxygène dans le sang

Par 12h27, les ambulanciers sont arrivés à la maison. Selon leur rapport, Jackson ne respirait pas et n'avait pas de pouls à 12:29 h. Cependant, Murray a déclaré qu'il pouvait sentir un pouls faible dans la zone haute de la cuisse de Jackson que Alvarez et Mahomet ont dit.

Selon le rapport de paramédics, les intervenants d'urgence ont essayé deux séries de tentatives de réanimation et étaient prêts à interrompre le traitement, mais Murray a dit qu'il prendrait la responsabilité et a insisté pour que la réanimation soit poursuivie dans l'ambulance.

À 1:07 pm, le chanteur a été reçu au Ronald Reagan UCLA Medical Center, où les médecins ont tenté une gamme de techniques de réanimation. Jackson a été déclaré mort à 2:26 p.m.

À l'hôpital, après la mort de Michael, Williams a dit avoir vu Murray pleurer.

Murray a demandé à Williams si lui ou quelqu'un d'autre pourrait le ramener à la maison afin qu'il puisse prendre la crème???, selon la déclaration de Williams.

Williams a déclaré qu'il ne pensait pas que c'était une bonne idée pour Murray de retourner à la maison. Il a parlé à Muhammad et ils ont décidé qu'ils ne qu'ils ne conduiraient pas Murray. Ils ont concocté une histoire: que la police avait pris toutes les clés du véhicules dans le cadre de l'enquête.

Murray a dit qu'il prendrait un taxi, et Williams a déclaré qu'il l'avait vu quitter l'hôpital par une porte latérale.

j'ai passé quelques heures a tenter de traduire le texte, je n'avais pas vu que tu l'avais fait Suzy

Que je suis bête!!!!!

Bah il vaut mieux deux fois que pas du tout en fin de comptes

pire encore, je viens de trouver la version en français

Les déclarations d'Alberto Alvarez sur les derniers instants de Michael Jackson (mis à jour)

Note : certaines descriptions contenues dans cet article peuvent choquer les personnes sensibles.

Selon des documents obtenus par l'Associated Press, le Dr Conrad Murray a interrompu la réanimation de Michael Jackson le 25 juin 2009 et a attendu avant d'appeler les secours afin de récupérer les flacons de médicaments présents sur les lieux. Ce témoignage a été fourni aux enquêteurs par Alberto Alvarez, l'un des responsables de la sécurité et de la logistique employés par la popstar. M. Alvarez avait été appelé par Murray au chevet de l'artiste alors que ce dernier se trouvait déjà en détresse cardio-respiratoire.

Selon Alberto Alvarez, lorsqu'il s'est précipité dans la chambre, Michael Jackson était allongé sur le lit, une intraveineuse dans la jambe, la bouche grande ouverte, les yeux ouverts et ne présentant aucun signe de vie. Le chef de la sécurité aurait alors pratiqué des manoeuvres de réanimation, relayé à un moment donné par Conrad Murray qui aurait effectué un bouche-à-bouche pour tenter de ramener l'artiste à la vie. M. Alvarez affirme également que deux des enfants de la star, Prince et Paris, ont fait irruption dans la chambre et se sont mis à pleurer en découvrant la scène. Une nourrice a alors été appelée pour les éloigner et ils ont été conduits à l'extérieur de la maison où ils ont patienté dans un véhicule.

Les documents racontent aussi une scène survenue à l'hôpital, après que le décès de Michael Jackson ait été officiellement prononcé : Murray aurait insisté pour retourner dans la propriété d'Holmby Hills afin de récupérer une crème qui appartenait à l'artiste "pour éviter que le monde entier ne la découvre".

Contacté par l'AP, l'avocat de Conrad Murray, Ed Chernoff, a affirmé que son client n'avait jamais tenté de dissimuler des médicaments. Il a précisé qu'Alberto Alvarez avait été interrogé à deux reprises par la police et avait donné différentes versions de la scène survenue dans la chambre de Michael Jackson.

"Il n'avait dit aucune de ces choses et puis, deux mois plus tard, d'un seul coup, [il raconte que] le médecin jette des flacons dans un sac. Les déclarations d'Alvarez sont en contradiction avec ses propos précédents. Nous gérerons ça lors du procès".

Outre Alberto Alvarez, l'accusation pourra s'appuyer sur le témoignage de Faheem Muhammad, chauffeur et garde du corps qui était également présent dans la chambre avant l'arrivée des secours, et sur celui de Michael Amir Williams, assistant personnel. Des documents récemment dévoilés par News Of The World, dont l'authenticité n'a pas encore été confirmée, révèlent que l'état de Michael Jackson était déjà irréversible à l'arrivée des secours : malgré des injections répétées de substances destinées à stimuler son coeur, une intubation immédiate, aucun pouls n'était perceptible, il ne respirait pas, avait les pupilles dilatées et sa pression sanguine était nulle.

La prochaine audience qui verra Conrad Murray confronté à la justice se tiendra dans deux semaines à Los Angeles.

Mise à Jour - Alberto Alvarez, Faheem Muhammad et Michael Amir Williams sont tous trois représentés par le même avocat, Carl Douglas, et ont été interrogés séparément le 31 août 2009. Aucun des trois ne s'est exprimé publiquement au sujet des faits survenus le 25 juin. M. Alvarez a déclaré à la police qu'il était arrivé au domicile de Michael Jackson à 10h20 du matin ; il attendait dans un poste de sécurité situé à l'extérieur de la maison de recevoir les instructions pour la journée. A 12h17, son téléphone a sonné. Au bout du fil, Michael M. Williams. Ce dernier lui a annoncé qu'il venait de recevoir un appel de Murray lui annonçant que Michael Jackson "avait des problèmes".

Alberto Alvarez s'est alors précipité dans la maison et s'est rendu à l'étage où il a découvert Murray au chevet du lit, en train de pratiquer d'une seule main des manœuvres de réanimation cardio-pulmonaire. Il a demandé au médecin ce qui s'était passé et Murray a répondu : "Il a eu une réaction, il a eu une mauvaise réaction".

Puis Murray a saisi quelques flacons avec un bouchon caoutchouté et a ordonné à Alberto Alvarez de les mettre dans un sac. Le responsable de la sécurité a saisi un sac plastique sur le sol, Murray y a placé les flacons puis a demandé à M. Alvarez de mettre ce sac plastique dans un sac en toile marron. Murray lui a ensuite ordonné de retirer une poche à perfusion du pied où il se trouvait et de le mettre dans un sac en toile bleu. Il a obtempéré et a constaté que la poche possédait un embout contenant une substance laiteuse. Alberto Alvarez a déclaré à la police qu'il ne savait pas ce qu'il était advenu des sacs, pas plus qu'il ne savait ce que contenaient les flacons. Deux jours après la mort de Michael Jackson, après plusieurs heures d'interrogatoire, Conrad Murray avait fini par orienter les policiers vers un placard situé dans la chambre de l'artiste, où les enquêteurs avaient retrouvé du propofol et d'autres sédatifs dans un sac.

Selon M. Alvarez, Murray a attendu que les sacs soient remplis avant de lui ordonner d'appeler les secours. C'est à ce moment que Faheem Muhammad s'est précipité dans la chambre et a commencé à pratiquer un massage cardiaque tandis que Murray essayait le bouche-à-bouche. Murray a avoué à cette occasion que c'était la première fois qu'il pratiquait des manœuvres de réanimation (ce que l'avocat du médecin, Ed Chernoff, dément).

Selon Alberto, Murray a ensuite placé une "machine marron foncé avec des câbles" sur les doigts de Michael Jackson. La police a par la suite déclaré avoir retrouvé un oxymètre de pouls au domicile de l'artiste (ce dispositif mesure le rythme cardiaque et évalue la quantité d'oxygène dans le sang).

A 12h27, six minutes après l'appel d'urgence, les secours sont arrivés au domicile et ont constaté à 12h29 que le coeur ne battait plus et que Michael Jackson ne respirait plus. Cependant, selon Alberto et Faheem Muhammad, Murray a déclaré aux secours qu'il percevait encore un pouls faible dans la région de l'aine. Les urgentistes ont alors tenté de lui injecter deux stimulants cardiaques qui n'ont produit aucun effet et ont annoncé qu'il fallait arrêter la réanimation. Conrad Murray a insisté pour qu'elle soit poursuivie dans l'ambulance, déclarant qu'il en prenait la responsabilité. Ce n'est qu'à 13h07 que Michael Jackson a été transporté à l'hôpital UCLA, où les médecins ont de nouveau essayé plusieurs techniques de réanimation. Le décès a finalement été prononcé à 14h26.

Michael Amir Williams a déclaré à la police qu'il avait vu Conrad Murray pleurer après l'annonce du décès. Le médecin lui a demandé s'il pouvait le ramener à Holmby Hills pour qu'il récupère la crème. Williams en a discuté avec Muhammad et ils ont convenu ensemble qu'il ne fallait pas laisser le médecin retourner sur la scène. Ils ont alors inventé une histoire et ont raconté à Murray que la police avait récupéré toutes les clés des véhicules dans le cadre de l'enquête. Murray leur aurait alors annoncé qu'il allait prendre un taxi et Williams l'a vu quitter l'hôpital.

ElusiveShadow.com / Associated Press

http://www.msnbc.msn.com/id/35445240/ns/dateline_nbc-newsmakers/

Écouter le message de Murray avant l'appel du 911

20 février 2010

le jour où Michael Jackson est mort, son médecin personnel, le Dr Conrad Murray a fait trois appels téléphoniques: Une à son bureau à Las Vegas, un à un ami, et un autre à un patient, Bob Russell. Russell ne répondit pas.

L'horodatage sur la boîte vocale est 11h54 PT. C'est à peu près 30 minutes avant l'appel au 911 a été faite de la maison de Michael Jackson.

En tout, selon des documents judiciaires, Murray aurait téléphoné pendant 47 minutes à partir de 11: 18 am.

Etait-il même dans la même pièce que Michael Jackson?

Est-ce que le Dr Murray semblait comme un homme face à une crise? Son patient Bob Russell pensait qu'il était fatigué.

Allez sur le lien pour écouter le Docteur Murray.

Je l'envoie direct à Aimjee pour qu'elle nous fasse un résumé!!!!

Merci Cléa pour toutes ces infos tu es vraiment TOP!


voici un lien vous permettant de voir comment est fait un oxymètre de pouls

http://images.google.be/images?hl=fr&source=hp&q=oxymetre+de+pouls&gbv=2&aq=0&aqi=g1&aql=&oq=oxym%C3%A8tre&gs_rfai=


Les fonctions vitales sont, dans le domaine des premiers secours et en médecine d'urgence, les fonctions de l'organisme qui assurent la vie, et dont la défaillance entraîne le décès à court terme (quelques minutes).

Ces fonctions sont selon les référentiels PSC1 et SST :

la circulation sanguine : le transport du dioxygène extrait de l'air par les poumons.
la conscience : l'ensemble des réflexes de préservation de la vie (toux, déglutition, évitement...) ; la conscience résulte de la bonne activité du système nerveux, en particulier du cerveau (siège de la vie) et de la moelle épinière ;
la ventilation pulmonaire : apport d'air par le mouvement des poumons
Ce sont les besoins physiologiques fondamentaux dans la pyramide des besoins.

La préservation des fonctions vitales est la préoccupation principale des acteurs de l'urgence, bien avant le traitement de la cause (« on traite la victime, pas la blessure ») ; c'est l'ABC de Peter Safar :

Airway, liberté des voies aériennes (assurer le passage de l'air vers les poumons),
Breath, respiration (pratiquer la ventilation artificielle si la victime ne respire pas spontanément),
Circulation, circulation sanguine (arrêter les hémorragies, pratiquer des compressions thoraciques si le cœur ne bat pas).
Certains cours de secourisme ajoutent une 4ème lettre au schéma de Safar.

Défibrillation, dans le cas ou la victime ne s'est pas réveillée après 5 cycles de RCP, et que les secours ne sont pas encore arrivés. Les défibrillateurs étant souvent disponibles dans les lieux publics (gares, places etc.)


Évaluation vitale

L'évaluation vitale doit se faire en moins de 30 secondes. La première chose à faire est de parler à la victime. Si elle ne répond pas il faudra poursuivre l'examen de la conscience mais après avoir vérifié que la victime ne saigne pas de façon abondante (ref : référentiels PSC1 et SST) Si un saignement abondant est détecté, il faut l'arrêter immédiatement !

Ensuite il faut évaluer la conscience. Si une personne bouge ou parle, elle est consciente. Si elle ne bouge pas et ne parle pas, il faut alors lui saisir la main et

lui poser une question simple, par exemple « Vous m'entendez ? » ;
lui donner un ordre simple, par exemple « ouvrez les yeux ».
Si elle répond ou réagit (bouge), elle est consciente, le bilan vital s'arrête là (une personne consciente respire et son cœur bat). Si elle ne répond pas et ne réagit pas, elle est inconsciente.

Si elle est inconsciente, il faut alors évaluer sa respiration :

libérer les voies aériennes
en détachant les vêtements gênant la respiration (cravate, col, ceinture, premier bouton du pantalon)

en ouvrant la bouche, on vérifie qu'il n'y a aucun objet dedans ; si l'on voit un objet, on l'enlève délicatement

en élevant le menton vers le haut (pour une victime plat-dos), afin de faire se soulever l'épiglotte (pour une victime assise, on la redresse contre le dossier et on met sa tête en légère bascule arrière)

approcher son oreille du nez de la victime et regarder le ventre, durant 10 secondes.
Si l'on sent un flux d'air sur la joue, que l'on voit le ventre ou la poitrine se lever ou se baisser, ou que l'on entend la respiration avec l'oreille, la personne respire, le bilan s'arrête là (une personne qui respire a un cœur qui bat). Il faut la tourner sur le côté (en PLS) et prévenir les secours).

Si une personne ne respire pas, on prévient les secours, et on effectue deux insufflations (bouche-à-bouche), et on contrôle à nouveau la respiration (cf. ci-dessus) ;

si la personne réagit (bouge, tousse), son cœur bat ; on continue le bouche-à-bouche pendant une minute, et on contrôle à nouveau la respiration (sauf si elle a repris spontanément)

si la personne n'a aucune réaction, son cœur ne bat pas, il faut alors pratiquer la réanimation cardio-pulmonaire.


Évaluation fonctionnelle

Si la personne est consciente, ou qu'elle est inconsciente mais respire spontanément, on va évaluer le fonctionnement des fonctions vitales. Ceci permettra au médecin régulateur de juger de l'état de la personne, et de décider de la suite des opérations.


Évaluation neurologique

Niveau secouriste (= j'ose espérer que les gardes du corps avaient cette formation....

Si la personne parle, on lui pose des questions afin de déterminer

si elle parle de manière cohérente ou pas ;
si elle est orientée (elle sait où elle est, quelle date on est, ce qu'elle faisait) ;
si elle se souvient de ce qui lui est arrivé.
On demande aux témoins si elle a eu une perte de conscience initiale (PCI) ; si l'on voit une tache humide sur le pantalon, on demande à la personne si elle se souvient d'avoir uriné (une perte d'urine peut indiquer une perte de conscience).

On lui demande de bouger les extrémités (doigts, orteils), et on lui touche les extrémités, afin de voir si la sensibilité et la motricité sont normales.

On observe les pupilles et on note si elles ont la même taille ; en cachant l'œil puis en l'éclairant avec une lampe, on détermine si les pupilles sont réactives (en temps normal, elle s'agrandissent dans l'obscurité et elles rétrécissent à la lumière ; il faut de méfier des yeux de verre et des examens ophtalmologiques récents).

Si la victime est inconsciente (elle est donc en PLS), on la stimule en lui pinçant le dos de la main (on peut aussi appuyer sur un ongle avec un objet dur) et en lui relevant les paupières, afin de voir si elle réagit à la douleur et à la lumière.

On peut classer les résultats de cette évaluation selon les quatre degrés de l'échelle AVPU :

victime consciente (Alert) ;
la victime ne bouge ou ne parle qu'en réponse aux stimulus et aux ordres (Verbal) ;
la victime ne parle pas et ne bouge qu'en réponse à la douleur (Pain) ;
aucune réponse, ni parole ni mouvement (Unresponsive).



Niveau medical (= donc la partie de Murray)

Les médecins et infirmiers utilisent, en urgence, l'échelle de Glasgow : il s'agit d'une échelle allant de 3 (comas profond) à 15 (victime parfaitement consciente et orientée), qui se fonde sur trois critères :

NI MURRAY , NI SES AVOCATS, NI LES MEDIAS NE PARLENT DE CETTE ECHELLE DE GLASGOW???? C'EST ASSEZ ETONNANT PAR RAPPORT AU SYSTEME DE DEFENSE...VOUS NE TROUVEZ PAS!!!!

ouverture des yeux
parole
réaction à la douleur.
Hors urgence vitale, ils peuvent compléter l'évaluation en testant des réflexes. En milieu hospitalier, cette évaluation peut se compléter avec un électro-encéphalogramme (EEG) et une IRM ou un scanner.



ICI JE PENSE QUE C'EST IMPORTANT:

Évaluation de la respiration [modifier]
Cette évaluation ]size=24]se fait si la personne respire.[/size]

SI PERSONNE N'EN PARLE C'EST PEUT ETRE QU'EFFECTIVEMENT DANS LA THESE DE MIKL PARTI, MURRAY NE L'A PAS PRATIQUE CAR MIKL DEJA PARTI DEPUIS UN BON MOMENT...

PAR CONTRE DANS LA THESE CANULAR, BEN PAS BESOIN DE LE FAIRE NI D'EN PARLER PUISQUE C'EST UN CANULAR...

Niveau secouriste (disons gardes du corps ..)

On fait une évaluation chiffrée et qualitative de la ventilation :

on détermine la fréquence ventilatoire (nombre de ventilations par minute) : on pose la main sur le haut du ventre (après avoir expliqué le geste) afin de percevoir les mouvements ventilatoires, et on les compte sur 30 secondes, puis on multiplie le résultat par deux (hors urgence, on peut aussi simplement compter sur une minute) ; on peut aussi simplement se fier au bruit (si la respiration est bruyante) ou sur les mouvement visibles (si elle est ample) ;
on détermine l'amplitude (ventilation ample ou faible) et la régularité (ventilation régulière ou irrégulière) ;
on écoute si l'on entend des bruits (gargouillis, sifflements, respiration rauque) à l'inspiration ou à l'expiration.
La fréquence, l'amplitude, la régularité, la présence éventuelle de bruits constituent le bilan ventilatoire.

Niveau médical + PARTIE DE mURRAY

Les médecins auscultent le dos et la poitrine afin d'écouter les bruits ventilatoires. Ils peuvent disposer des sondes dans le dispositif d'inhalation ou d'insufflation afin de déterminer la fraction de dioxygène inspirée (FiO2) et la concentration de dioxyde de carbone expirée. Une dispositif lumineux, appelé oxymètre, donne la saturation du sang en dioxygène (SpO2).



Évaluation de la circulation


Niveau secouriste Disons donc garde du corps

On prend le pouls carotidien (après avoir expliqué le geste), et l'on détermine la fréquence (nombre de battements par minute : on compte le nombre de battements sur 30 secondes et on multiplie le résultat par deux) ainsi que la régularité (régulier ou irrégulier). Puis, on prend le pouls aux deux poignets, pour voir si on le sent ou pas.

Si on ne sent pas le pouls carotidien alors que l'on sait que le cœur bat (la personne respire), on essaie de prendre le pouls fémoral.

On observe la coloration de la peau, en particulier des muqueuses (intérieur des paupières, intérieur de la lèvre, ongles) chez les personnes à la peau sombre, et on note une couleur anormale : victime pâle, bleue (cyanosée), ou présentant des marbrures. On regarde si la personne présente des sueurs en absence de chaleur ou d'effort physique.

Ces éléments (absence ou présence des pouls principaux et distaux, fréquence et régularité, coloration, sueurs) constituent le bilan circulatoire.

Si une personne est en arrêt cardiaque, on lui pose un défibrillateur semi-automatique (si disponible) qui fera un diagnostic automatique.

Niveau médical = Murray

Les médecins auscultent le cœur afin d'écouter les bruits qu'il fait. Il peuvent relever un électro-cardiogramme (ECG).


LE TOUT EST DE DETERMINER SI CES ACTES ONT ETE POSES OU NON ET PAR QUI?

Voilà un lien avec toute l'histoire, plus les rapports des ambulanciers

http://www.newsoftheworld.co.uk/news/761057/Damning-ambulance-report-that-could-put-stars-medic-behind-bars.html

Cheyenne a écrit:

Voilà un lien avec toute l'histoire, plus les rapports des ambulanciers

http://www.newsoftheworld.co.uk/news/761057/Damning-ambulance-report-that-could-put-stars-medic-behind-bars.html

Et voilà la traduction des documents et du rapport des ambulanciers

DOCUMENT 1: Jackson est couché par terre sur le dos, sans manifester aucune résistance, dans sa maison de Los Angeles lorsque les secours arrivent.
Le Docteur Murray est en train de pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire (CPR) sur le patient. Les urgentistes intubent alors Jackson, notant une situation stable au niveau des poumons : Il s’agit d’un simple contrôle pour s’assurer que le tube pénètre bien dans la trachée du patient, et non pas dans l’œsophage.

Ils notent par ailleurs une marque d’intraveineuse encore suintante sur la jambe gauche du patient, effectuée par Murray.

Il est inhabituel de voir ce genre de trace sur la jambe et non sur le bras. Nous pouvons seulement supposer que Murray n’avait pas réussi à trouver une veine exploitable sur le bras, suite à des injections trop fréquentes sur le long terme, ou qu’il s’agir d’une réaction post mortem d’une ancienne injection.

La fabrication de dioxyne de carbone par l’organisme a également été mesuré à l’arrivée des secours à 16 (unité de mesure), puis à 26 lorsqu’il a été transporté à l’hôpital : Cela signifie qu’il ne respire plus et ne peut plus par conséquent rejeter le dioxyde de carbone qui se développe à l’intérieur de l’organisme, sans être évacué par les voies respiratoires.


DOCUMENT 2 : Les signes vitaux de Jackson – la pression sanguine, le pouls et la respiration – ont été mesurés deux fois par les urgentistes, à 1 heure de l’après-midi, et 11 minutes plus tard. Dans tous les cas, les résultats d’examen respiratoire et cardiaque étaient de zéro, signifiant que Jackson était à ce moment-là cliniquement mort.

DOCUMENT 3 : Le rapport de l’intervention montre les résultats d’un test à l’aide d’un électrocardiogramme. Des électrodes ont été placées sur sa poitrine, ses bras et ses jambes pour mesurer le rythme cardiaque.

Trois doses de médicaments « réanimateurs » ont été administrés par voie intraveineuse :

- Dans un premier temps, 1 mg d’epinephrine, qui est un excitant destiné à stimuler le rythme cardiaque. Le résultat est « N » pour « négatif ».
- Ensuite, les urgentistes ont injecté de l’atropine. Ce produit paralyse les nerfs, dissociant l’action du cœur et du corps afin de permettre au rythme cardiaque de battre indépendamment et plus librement. Le résultat s’est également avéré négatif.
- Enfin, a été injecté du bicarbonate de sodium. Quand il n’y a pas de circulation sanguine, le sang devient acide car le corps produit du diozyde de carbone en grande quantité. En injectant du bicarbonate de sodium, l’urgentiste peut parvenir à redonner au sang une substance alcaline, qui peut aider le cœur à repartir.

Aucun de ces traitements n’a fonctionné.


DOCUMENT 4 : Le patient ne répond pas aux tentative de réanimation multiples (RX/TX), l’hôpital nous conseille d’arrêter la réanimation. Mais Murray prend ses responsabilités et demande à ce Jackson soit transféré en salle d’urgence à l’hôpital. Pendant le trajet en ambulance, une troisième réanimation est tentée. La production de C02 dans l’organisme augmente inexorablement.


DOCUMENT 5 : L’intervalle de temps entre le départ de l’ambulance à l’hôpital et l’arrivée de Jackson en salle d’urgence a été de 6 minutes.

DOCUMENT 6 : De temps en temps, le corps de Jackson bougeait et un pic se manifestait sur l’écran de l’électrocardiogramme. Mais nous pouvons clairement affirmer que Michael Jackson était une poupée de chiffon. »

Grand merci à toi Cheyenne, je lirai ton post avec attention tout à l'heure car le matin, je m'embrouille

bONNE JOURN2E

bIZZ

Dr. Conrad Murray -- Approach the Bench
Posted Mar 26th 2010 1:57PM by TMZ Staff

Dr. Conrad Murray not only has a right to remain silent ... he's exercising it.



Murray was at a 24 Hour Fitness in Las Vegas last night at around 7:00 PM. He worked out for about an hour with a spotter at the ready.

As far as we know, she didn't leave his side to make a phone call.


Murray s'est entrainé à la salle de fitness , hier.....Cool!!!!

j'aime bien la remarque sur le téléphone

On nous prends pour des billes


La petite amie de Murray est surveillée par la police!!!!

A quelques jours de l'audience.....
Je croyais que l'enquête était bouclée

De plus, je suppose que si ils trouvent des, par exemple, traces de conversations téléphoniques d'avant le 25 , je ne sais si c'est encore valable pour être présenté au Tribunal puisque ....l'enquête est bouclée!!!!!!!????????

Clea a écrit:

pire encore, je viens de trouver la version en français

Les déclarations d'Alberto Alvarez sur les derniers instants de Michael Jackson (mis à jour)

Note : certaines descriptions contenues dans cet article peuvent choquer les personnes sensibles.

Selon des documents obtenus par l'Associated Press, le Dr Conrad Murray a interrompu la réanimation de Michael Jackson le 25 juin 2009 et a attendu avant d'appeler les secours afin de récupérer les flacons de médicaments présents sur les lieux. Ce témoignage a été fourni aux enquêteurs par Alberto Alvarez, l'un des responsables de la sécurité et de la logistique employés par la popstar. M. Alvarez avait été appelé par Murray au chevet de l'artiste alors que ce dernier se trouvait déjà en détresse cardio-respiratoire.

Selon Alberto Alvarez, lorsqu'il s'est précipité dans la chambre, Michael Jackson était allongé sur le lit, une intraveineuse dans la jambe, la bouche grande ouverte, les yeux ouverts et ne présentant aucun signe de vie. Le chef de la sécurité aurait alors pratiqué des manoeuvres de réanimation, relayé à un moment donné par Conrad Murray qui aurait effectué un bouche-à-bouche pour tenter de ramener l'artiste à la vie. M. Alvarez affirme également que deux des enfants de la star, Prince et Paris, ont fait irruption dans la chambre et se sont mis à pleurer en découvrant la scène. Une nourrice a alors été appelée pour les éloigner et ils ont été conduits à l'extérieur de la maison où ils ont patienté dans un véhicule.

Les documents racontent aussi une scène survenue à l'hôpital, après que le décès de Michael Jackson ait été officiellement prononcé : Murray aurait insisté pour retourner dans la propriété d'Holmby Hills afin de récupérer une crème qui appartenait à l'artiste "pour éviter que le monde entier ne la découvre".

Contacté par l'AP, l'avocat de Conrad Murray, Ed Chernoff, a affirmé que son client n'avait jamais tenté de dissimuler des médicaments. Il a précisé qu'Alberto Alvarez avait été interrogé à deux reprises par la police et avait donné différentes versions de la scène survenue dans la chambre de Michael Jackson.

"Il n'avait dit aucune de ces choses et puis, deux mois plus tard, d'un seul coup, [il raconte que] le médecin jette des flacons dans un sac. Les déclarations d'Alvarez sont en contradiction avec ses propos précédents. Nous gérerons ça lors du procès".

Outre Alberto Alvarez, l'accusation pourra s'appuyer sur le témoignage de Faheem Muhammad, chauffeur et garde du corps qui était également présent dans la chambre avant l'arrivée des secours, et sur celui de Michael Amir Williams, assistant personnel. Des documents récemment dévoilés par News Of The World, dont l'authenticité n'a pas encore été confirmée, révèlent que l'état de Michael Jackson était déjà irréversible à l'arrivée des secours : malgré des injections répétées de substances destinées à stimuler son coeur, une intubation immédiate, aucun pouls n'était perceptible, il ne respirait pas, avait les pupilles dilatées et sa pression sanguine était nulle.

La prochaine audience qui verra Conrad Murray confronté à la justice se tiendra dans deux semaines à Los Angeles.

Mise à Jour - Alberto Alvarez, Faheem Muhammad et Michael Amir Williams sont tous trois représentés par le même avocat, Carl Douglas, et ont été interrogés séparément le 31 août 2009. Aucun des trois ne s'est exprimé publiquement au sujet des faits survenus le 25 juin. M. Alvarez a déclaré à la police qu'il était arrivé au domicile de Michael Jackson à 10h20 du matin ; il attendait dans un poste de sécurité situé à l'extérieur de la maison de recevoir les instructions pour la journée. A 12h17, son téléphone a sonné. Au bout du fil, Michael M. Williams. Ce dernier lui a annoncé qu'il venait de recevoir un appel de Murray lui annonçant que Michael Jackson "avait des problèmes".

Alberto Alvarez s'est alors précipité dans la maison et s'est rendu à l'étage où il a découvert Murray au chevet du lit, en train de pratiquer d'une seule main des manœuvres de réanimation cardio-pulmonaire. Il a demandé au médecin ce qui s'était passé et Murray a répondu : "Il a eu une réaction, il a eu une mauvaise réaction".

Puis Murray a saisi quelques flacons avec un bouchon caoutchouté et a ordonné à Alberto Alvarez de les mettre dans un sac. Le responsable de la sécurité a saisi un sac plastique sur le sol, Murray y a placé les flacons puis a demandé à M. Alvarez de mettre ce sac plastique dans un sac en toile marron. Murray lui a ensuite ordonné de retirer une poche à perfusion du pied où il se trouvait et de le mettre dans un sac en toile bleu. Il a obtempéré et a constaté que la poche possédait un embout contenant une substance laiteuse. Alberto Alvarez a déclaré à la police qu'il ne savait pas ce qu'il était advenu des sacs, pas plus qu'il ne savait ce que contenaient les flacons. Deux jours après la mort de Michael Jackson, après plusieurs heures d'interrogatoire, Conrad Murray avait fini par orienter les policiers vers un placard situé dans la chambre de l'artiste, où les enquêteurs avaient retrouvé du propofol et d'autres sédatifs dans un sac.

Selon M. Alvarez, Murray a attendu que les sacs soient remplis avant de lui ordonner d'appeler les secours. C'est à ce moment que Faheem Muhammad s'est précipité dans la chambre et a commencé à pratiquer un massage cardiaque tandis que Murray essayait le bouche-à-bouche. Murray a avoué à cette occasion que c'était la première fois qu'il pratiquait des manœuvres de réanimation (ce que l'avocat du médecin, Ed Chernoff, dément).

Selon Alberto, Murray a ensuite placé une "machine marron foncé avec des câbles" sur les doigts de Michael Jackson. La police a par la suite déclaré avoir retrouvé un oxymètre de pouls au domicile de l'artiste (ce dispositif mesure le rythme cardiaque et évalue la quantité d'oxygène dans le sang).

A 12h27, six minutes après l'appel d'urgence, les secours sont arrivés au domicile et ont constaté à 12h29 que le coeur ne battait plus et que Michael Jackson ne respirait plus. Cependant, selon Alberto et Faheem Muhammad, Murray a déclaré aux secours qu'il percevait encore un pouls faible dans la région de l'aine. Les urgentistes ont alors tenté de lui injecter deux stimulants cardiaques qui n'ont produit aucun effet et ont annoncé qu'il fallait arrêter la réanimation. Conrad Murray a insisté pour qu'elle soit poursuivie dans l'ambulance, déclarant qu'il en prenait la responsabilité. Ce n'est qu'à 13h07 que Michael Jackson a été transporté à l'hôpital UCLA, où les médecins ont de nouveau essayé plusieurs techniques de réanimation. Le décès a finalement été prononcé à 14h26.

Michael Amir Williams a déclaré à la police qu'il avait vu Conrad Murray pleurer après l'annonce du décès. Le médecin lui a demandé s'il pouvait le ramener à Holmby Hills pour qu'il récupère la crème. Williams en a discuté avec Muhammad et ils ont convenu ensemble qu'il ne fallait pas laisser le médecin retourner sur la scène. Ils ont alors inventé une histoire et ont raconté à Murray que la police avait récupéré toutes les clés des véhicules dans le cadre de l'enquête. Murray leur aurait alors annoncé qu'il allait prendre un taxi et Williams l'a vu quitter l'hôpital.

ElusiveShadow.com / Associated Press

C'est KESKEJDIS!!! ON NOUS PRENDS POUR DES BILLES!!!!


Donc une nourrice était présente (peut être la fameuse voix féminine que je cherche depuis le début!!)
Si c'est elle , cela veut dire qu'elle est restée ou retournée dans la chambre

Donc et de toute façon le témoignage de KAI CHASE ne tient pas!!




A moins que je me trompe, elle dit que les enfants étaient en bas et que Murray a crié "Aller chercher Prince!!" et qu'ils se sont réunis en bas avec les enfants pour prier en cercle
Dans le'article , les enfants ont été mis dans la voiture!!!!?????

qUELQU4UN POURRAIT TRADUIRE SI ELLE DIT BIEN QUE:

Elle a eu la chance de cotoyer les enfants et ...Katherine et les cousins???
Je pensais que plus personne de la famille ne savait approcher MIKL!!!

3 articles traduction demain car dodo!!!!




http://www.tmz.com/2010/03/26/michael-jackson-dr-conrad-murray-girlfriend-nicole-alvarez-propofol-lapd-detectives-search-warrant/

LAPD: Dr. Conrad Murray's GF Holds Secrets
Posted Mar 26th 2010 7:22PM by TMZ Staff

LAPD detectives were on the hunt for Dr. Conrad Murray's communications with his baby mama, Nicole Alvarez -- a woman cops believe knows a lot about Michael Jackson's death.



According to documents just released, detectives obtained a search warrant in November, 2009 -- 5 months after Jackson died. They searched a Gmail account belonging to Nicole Alvarez, the woman who had a child with Murray. She's the same woman Murray was staying with in Santa Monica up to the time Jackson died.

Cops wanted records from May, 2009 through September, 2009. So it's now clear -- detectives wanted to know what Murray had been saying to Alvarez for two months before and two months after the singer's death. Cops say in the warrant, "During the course of the investigation [the lead detective] also learned that Dr. Murray made numerous telephone calls to Nicole Alvarez leading up to and including the day Jackson died."

The affidavit mentions a "shipment" that Murray may have discussed with Alvarez. As TMZ first reported, cops believe Dr. Murray had propofol delivered from a Las Vegas pharmacy to Alvarez's Santa Monica apartment.



Did Dr. Conrad Murray Conspire with Baby Mama?
March 27th, 2010 11:01 AM by Free Britney Tags: Dr. Conrad Murray, Michael Jackson
Does Dr. Conrad Murray's girlfriend/baby mama, Nicole Alvarez, have any info about the death of Michael Jackson? That's what the LAPD's been trying to find out.

Detectives obtained a search warrant in November and searched a Gmail account belonging to Nicole Alvarez, a woman who had a child with Dr. Conrad Murray.

Murray was staying with her in Santa Monica up until the time Jackson died (June 25, 2009), and police sought records from May through September of last year.

Essentially, detectives wanted to know what Dr. Murray was saying to Nicole Alvarez for two months before and two months after the music star's untimely death.









http://www.thehollywoodgossip.com/2010/03/did-dr-conrad-murray-conspire-with-baby-mama/#more

Was Dr. Conrad Murray trying to cover his tracks?

An affidavit mentions a "shipment" Murray may have discussed with Alvarez. Officials believe Dr. Murray had Propofol sent from a Las Vegas pharmacy to Alvarez.

He faces involuntary manslaughter charges in the death of Jackson.

At the center of the prosecution's case are not only Murray's actions that day, but contradictory statements and omissions of facts in statements made to officials.

Meanwhile, a newly-released search warrant details some of what cops discovered at Jackson's mansion in the aftermath of his death. Follow the jump to see ...

Here's what was found on the premises ...

3-10 mg/ml 1% lydocaine vials (2 empty, 1 3/4 full)
1 empty bottle propofol 200 mg
1 pulse monometer
1 empty vial lorazepam 4 mg
2 empty vials midazolam 10mg
1 empty vial propofol 1g/100ml
1 black nylon bag
1 dark blue costco bag
1 light blue canvas bag
1 pill bottle with 13 tablets containing 25 mg ephedrine, 200 mg caffeine, 80 mg aspirin
4 vials propofol 200mg/20ml
2 vials 5 mg flumazenil
1 vial lorazepam
1 vial lidocane
200mg vials of propofol (1 full, 1 1/4 full)
1 empty bag I.V. drip of sodium chloride with syringe
1 ziplock bag containing 18 tubes of Benoquin

Interesting to note that they found a canvas bag, which MJ bodyguard Alberto Alvarez (no relation) told cops Dr. Murray told him to put vials of Propofol in.





http://www.thehollywoodgossip.com/2010/02/michael-jackson-death-timeline-dr-conrad-murray-defense/


Michael Jackson Death Timeline Dispute Critical to Conrad Murray Defense, Prosecution
February 17th, 2010 8:15 AM by Free Britney Tags: Dr. Conrad Murray, Michael Jackson
In a new twist, Dr. Conrad Murray’s attorney, Michael Flanagan, says his client made a mistake in his initial interview in the Michael Jackson homicide investigation.

"Dr. Murray's timeline of events the day Michael Jackson died is wrong,” he says. “Doctors make mistake. That is what he did, and it was simply that. A mistake.”

Really, Conrad Murray?

Jackson's personal physician is changing the story he initially told police in the aftermath of MJ's death - a significant move for the prosecution and defense.

According to police reports, Murray told the LAPD that he gave Propofol to Jackson at 10:50 a.m., then left Jackson alone for two minutes to go to the bathroom.



DOCTOR ON TRIAL: Does Conrad Murray's explanation hold water?


Murray then went on to say that when he returned to Jackson’s room, he wasn’t breathing and he began CPR. However, a 911 call wasn’t made until after noon.

In addition, a voicemail Conrad Murray left at 11:54 a.m. that day to another patient, Bob Russell, was released yesterday. Murray was calm and collected on it.

That seems dubious if Murray had been performing CPR on Jackson for an hour before the call. To that end, Flanagan says Murray was wrong about the timing.

The timeline of events surrounding the death of Jackson will most likely be central to the criminal charges - involuntary manslaughter - against Dr. Conrad Murray.

Some reports even say that both the defense and the prosecution plan to use the newly surfaced voicemail as a centerpiece to their case, which is fascinating.

Murray’s legal team aims to discredit cops' initial interviews with their client in a bid to convince a jury they bungled the situation, according to some sources.

But Flanagan says that he believes his client simply made a mistake when it came to the timeline that fateful day. "Dr. Murray's timeline was wrong," he said.

He also suggested that there was reportedly another phone call between Murray and his girlfriend in Houston, shortly after noon. He called 911 at 12:21.

But if Murray did administer Propofol to Jackson at 10:50 a.m. as he initially said, it would be natural for cops to assume he did not check on him until later.

Police say he most likely left Jackson alone for approximately 73 minutes – not two minutes as he claimed - after administering Propofol, a powerful sedative.

This would be damaging to his defense. Murray’s calm call at 11:54 a.m. fits not only his defense, but a police theory that he simply left MJ alone for awhile.

02.04.2010, 02h09


Les avocats de Conrad Murray, inculpé en février d'homicide involontaire pour la mort de Michael Jackson, ont exhorté jeudi la justice américaine à ne pas retirer au médecin son droit d'exercer, une sanction qui constituerait "une catastrophe financière et personnelle".

Le procureur de Californie avait récemment annoncé qu'il allait demander à la justice de retirer à Conrad Murray son droit à exercer la médecine dans l'Etat, au motif que sa "conduite et son imprudence dans les soins et le traitement prodigués à Michael Jackson le rendent dangereux pour le public".

Conrad Murray avait reconnu avoir administré au "roi de la pop" le puissant anesthésiant propofol, qui avait provoqué la mort du chanteur, le 25 juin dernier à Los Angeles, à l'âge de 50 ans.
Selon ses avocats, une interdiction d'exercer en Californie entraînerait inévitablement des décisions similaires au Texas et dans le Nevada, où le médecin possède des cabinets.

Dans des documents déposés jeudi devant la Cour supérieure de Los Angeles, ils assurent que si Conrad Murray n'exerce plus en Californie depuis la mort de Michael Jackson, un retrait de licence au Texas et dans le Nevada "compromettrait sa capacité à assurer sa défense".

"Les problèmes financiers consécutifs à l'enquête (sur la mort de Michael Jackson) ont été évoqués publiquement", écrivent Ed Chernoff et Joseph Hawkins Low IV. "Sa situation (financière), sans exagérer, ne tient qu'à un fil. Sa capacité à payer pour sa défense dépend presque entièrement de son activité de médecin dans le Nevada et au Texas".
Ils ajoutent que Conrad Murray, 57 ans, "n'a pas l'intention de reprendre ses activités en Californie dans l'immédiat".

Après son inculpation pour "homicide involontaire" le 8 février dernier, la justice avait interdit à Conrad Murray de prescrire tout sédatif ou anesthésiant, notamment du propofol.
En juillet dernier, des documents judiciaires estimaient les dettes de Conrad Murray à plus de 750.000 dollars. Michael Jackson l'avait engagé quelque mois auparavant pour assurer son suivi médical, moyennant 150.000 dollars mensuels, dans la perspective des 50 concerts qu'il devait donner à Londres.

L'avenir professionnel de Conrad Murray sera débattu lundi 5 avril devant la Cour supérieure de Los Angeles. Ce jour-là, le juge fixera également la date d'une nouvelle audience, destinée à déterminer si le médecin passera ou non en jugement.

Le docteur Murray a toujours reconnu qu'il avait administré le propofol à Michael Jackson, un peu avant sa mort. Mais selon lui, c'était à la demande insistante du "roi de la pop", qui l'utilisait comme somnifère.
Le chef d'accusation d'"homicide involontaire" pourrait valoir au docteur Murray, en cas de condamnation, un maximum de quatre ans de prison.


http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/les-avocats-du-docteur-de-jackson-defendent-son-droit-a-exercer-la-medecine-02-04-2010-871859.php

C'est vrai que si Murray ne peut plus exercer, plus de sous pour les avocats .....!!!!

Petit complèment à l'article de Suzy
Conrad Murray demande à conserver le droit d'exercer pour payer sa défense

Les avocats de Conrad Murray ont déposé ce jeudi devant la justice des documents dans lesquels ils expliquent que le médecin doit absolument conserver le droit d'exercer afin de payer sa défense dans l'affaire liée au décès de Michael Jackson. Selon Ed Chernoff et Joseph Low, si Murray perdait sa licence, les effets seraient dévastateurs pour lui compte tenu de ses problèmes d'argent. "Il est, sans avoir peur des mots, suspendu à un fil. Sa capacité à payer sa propre défense dépend presque entièrement de sa capacité à continuer à traiter des patients", ont expliqué les deux avocats.

Selon le bureau de l'avocat général de Californie, un représentant du Conseil de l'Ordre des Médecins de l'Etat sera présent au tribunal lors de l'audience prévue le lundi 5 avril. Il devrait réclamer la suspension du praticien en Californie. Cependant, selon les avocats de Murray (lequel s'est déjà vu interdire de prescrire des anesthésiques), cette mesure est totalement inutile étant donné que le médecin n'exerce pas dans cet Etat. Par ailleurs, ils craignent que par un "effet domino", les Conseils de l'Ordre du Nevada et du Texas ne prennent la même décision.

"Si le Dr Murray est incapable d'exercer la médecine au Texas et, plus encore, dans le Nevada, il sera selon toute vraisemblance confronté à l'impossibilité de se défendre devant la Cour Supérieure de Californie face aux accusations dont il fait l'objet. L'affaire dans laquelle il est accusé va nécessiter beaucoup de travail pour les avocats et des honoraires élevés. Etant donné que la majeure partie de sa défense sera fondée sur des données scientifiques et que l'affaire concerne la mort d'un homme internationalement connu, les dépenses pour sa défense vont être considérables".

Les avocats ajoutent que si Conrad Murray est privé du droit d'exercer, il ne pourra plus payer les pensions alimentaires qu'il doit ou les salaires de ses employés, ce qui aura un impact sur les patients qu'il traite actuellement dans le Nevada et au Texas.

Pour sa part, l'avocat général a déclaré que le praticien avait fait preuve d'un "piètre jugement personnel" dans les soins apportés à Michael Jackson et "avait fini par ôter la vie à son patient". Il a ajouté dans sa motion : "L'attitude de l'accusé témoigne d'un profond mépris pour le soin et le bien-être des personnes dont il avait la charge. Sa conduite est imprudente et non professionnelle. C'est une conduite dont le public devrait être protégé".

Conrad Murray a plaidé non coupable d'homicide involontaire. Une audience aura lieu lundi. Elle pourrait aboutir à la désignation d'un juge et à la détermination d'une date pour l'audience préliminaire.

ElusiveShadow.com / ABC News

Voilà une petite suite.................

C'est au tour du Nevada de déposer plainte contre Conrad Murray. En
effet celui ci a omis de mentionner qu'il était redevable des 2
pensions alimentaires lors de sa demande de renouvellement de licence
de médecin, informations qui étaient demandées.
Douglas Cooper, le directeur du conseil des médecins du Nevada, a
déclaré à l'Associated Press jeudi que la commission a déposé une
plainte contre Conrad Murray. Cooper dit que la plainte pourrait
entraîner la révocation de la licence de médecine de Murray dans
l'état du Nevada.
Miranda Sevcik, porte-parole de Murray et de son avocat, Edward
Chernoff, a dit que l'équipe juridique de Murray a reçu la plainte et
espère résoudre le problème d'une manière qui permet au médecin de
garder sa licence.

Une audience est prévue à Reno ou Murray pourra s'expliquer, mais le
conseil d'administration ne pourra prendre de décision avant
septembre.

Murray pratique aussi la médecine à Houston et est titulaire d'une
licence médicale en Californie, mais la plainte ne vise que le Nevada.

Associated Press/mjackson.fr

bon ben ça va, jusqu'à septembre, il aura encore de quoi payer ses avocats s'il ne se fait pas suspendre sa licence par le comité médical.

Ca va lui coûter une véritable fortune tout ça!!!

Clea a écrit:

bon ben ça va, jusqu'à septembre, il aura encore de quoi payer ses avocats s'il ne se fait pas suspendre sa licence par le comité médical.

Ca va lui coûter une véritable fortune tout ça!!!

Ben oui, d'autant plus que si j'ai bien tout compris ce que j'ai lu................ni Michael, ni AEG n'avaient signé son contrat "d'embauche".................